Je viens d’apprendre la mort du sculpteur sénégalais Ousmane Sow. Il avait 81 ans. Il était – ce que j’ignorais – hospitalisé depuis de longs mois. Cette disparition, c’est, comme dirait Amadou Hampâté Bâ, « une bibliothèque qui brûle » et ce, non seulement au Sénégal, mais ici aussi, à Paris et en France. Et même en…